2013
Ecole de journalisme de Sciences Po - Alexandre Brachet, un pionnier du Web documentaire
Web et télévision, deux écritures en partage
(via)État des lieux du webdocumentaire - FRANCE 24
by 1 other2010
designers interactifs - Magazine - Interviews - Interview d’Alexandre Brachet, Upian
Alexandre Brachet, fondateur du studio Upian, a répondu à quelques questions sur son positionnement, les inspirations, le savoir-faire inédit développé par son équipe autour de l’écriture et la production de webdocumentaires et de sites médias.
Le webdocumentaire #1 « ZMÂLA
Entretien avec Alexandre Brachet, fondateur d’Upian (www.upian.com), maison de production plurimédia.
Propos recueillis par Éric Karsenty, Paris le 27 mai 2010.
“Redesignons le Monde”: compte-rendu » Article » OWNI, Digital Journalism
Pour approfondir le sujet, nous avons demandé leur avis sur l’ergonomie de la page d’accueil du Monde.fr à deux spécialistes. Alexandre Brachet, fondateur d’Upian, nous explique qu’ “en tant que lecteur du journal et du site, [il est] très à l’aise avec l’existant” :
Le mariage de l'info et du jeu vidéo - LeMonde.fr
by 1 otherL'équipe d'Upian ne s'arrête pas là : dans la foulée, elle développe un mini-jeu sur Dominique Strauss-Kahn et l'affaire de la MNEF ou un autre sur les déboires de Paco Rabanne avec la presse. "A l'époque, nous, on appelait ça des 'galettes', entre autres parce que c'était des petits trucs à servir chaud", se souvient Alexandre Brachet. "On n'avait pas l'impression de faire des jeux vidéo ; moi, je n'ai pas du tout cette culture-là. Mais on se disait qu'un dessin de presse, sur Internet, ça devait forcément être interactif !"
Gay on line | Public Sénat VOD
Le webdocu master Alexandre Brachet - Nouvelles technos - Télérama.fr
by 2 others“Gaza/Sderot”, “La Cité des mortes”, “Prison Valley”… L'agence Upian, fondée en 1998 par le pionnier Alexandre Brachet, se fait une réputation avec des webdocumentaires ambitieux et engagés. Formes inédites, design irréprochable au service du sens et passion du travail bien fait devraient faire école sur la Toile.
Arte lance sa plateforme Web documentaire avec Havana / Miami | FABRIQU@BLOG
(via)Alexandre Brachet présente "the Upian way of making web documentaries" | FABRIQU@BLOG
En Anglais dans le texte… With a nice french accent that makes it easy for everyone to understand what it’s all about.
Power to the Pixel, Berlin revival : l’architecture d’une histoire transmedia à la portée de tous (1/3) « The Biz and Tech Lab
(via)Puis, Alexandre Brachet a exposé deux web-documentaires qu’il a produits. Gaza Sderot a la particularité d’être diffusé, comme son nom l’indique, seulement sur internet, et d’être en permanence en split screen : l’internaute suit l’histoire de six personnages à Gaza (en Palestine) et à Sderot (en Israël) en même temps sur le même écran ; il peut également décider de les suivre personnage par personnage, par sujet (le sport par exemple), ou par lieu (tous définis sur une carte du type Google Earth). Ainsi, la narration peut, à tout moment, être délinéarisée ou relinéarisée… C’est à l’internaute de décider de quelle manière il veut visionner le documentaire.
2009
RFI - Historias en internet
by 1 otherMultimedia entrevistó también a Alexandre Brachet, fundador de la agencia Upian, productora de web documentales, o documentales en internet, un género donde las historias son la clave.
REPORTAGE « Le blog du festival des 4 écrans
1 comment (via)Les élèves de Bondy, guest-stars de l’après-midi lycéenne. Des jeunes de la banlieue parisienne sont venus présenter “Vues migratoires”, leur web-documentaire.
Du neuf et du frais dans le Web-documentaire :
Pourtant, le Web-reportage n’a pas encore de forme arrêtée. Presque chaque nouveau sujet est l’occasion d’une présentation différente. “C’est un genre qui reste encore largement à exploiter”, fait remarquer Philippe Couve dans ‘Le Monde’. Il pointe ainsi de grandes différences entre des diaporamas sonores pouvant être assez linéaires dans la narration et certains documentaires imaginés comme des sites à part entière (comme Ciudad Juarez, réalisé par la société de production Upian). Alexandre Brachet, responsable d’Upian, dresse d’ailleurs le même constat. “Le temps n’est pas encore venu de dupliquer les formats, mais plutôt de continuer à en créer de nouveaux” explique-t-il. “Les internautes demandent à être surpris”, affirme-t-il.
Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr
(via)Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».
Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.
SUNNY SIDE OF THE DOC L'époque est au webdoc - Charente-Maritime / Actualité / Grand La Rochelle - Jeudi 25 Juin 2009 - SUDOUEST.COM
(via)"Le Buzz" : les web-séries ont (enfin) la cote ! - LCI est @ vous / Le Buzz / Zap Net
Les web-séries ne sont plus risibles ! Elles trouvent désormais des financements, des acteurs et producteurs compétents...
Emmanuel Schwartzenberg, producteur des "Brèves de Marseille", et Alexandre Brachet, d'Upian, étaient sur le plateau du "Buzz"...
BondyBlog
by 1 otherÇa dépend des boîtes. Moi je pense qu’aujourd’hui, il est hyper important que des boîtes comme la nôtre soient visibles par des lycéens. Il faut que des jeunes en première aient les moyens de choisir leur orientation en sachant ce qu’est une société. J’aime bien l’idée de montrer à des jeunes d’où qu’ils soient, comment cela fonctionne chez nous. Ce genre de projet représente pour nous une liberté, une vraie bouffé d’air. Il n’y pas de contrainte psychologique, ni d’enjeux commerciaux comme les commandes. Sur « Vues Migratoires », on a essayé d’aiguillier les élèves afin qu’ils innovent dans le récit multimédia. Mais le plus intéressant de tout ça, c’est l’humain. Monter un projet comme celui-là permet de communiquer avec des jeunes, et ça te sors de ton univers classique. Même si, à Upian, nous faisons beaucoup de choses décalées : ouvrir une galerie d’art et des documentaires...