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Pour recevoir un film, les non-voyants ont besoin du son, des voix, mais aussi d'une foule de détails qui nourrit leur imagination. Bilan et perspectives d'un procédé en devenir en France.

Une réussite que l’on doit au travail de l’œuvre fédérale Les Amis des aveugles de Ghlin. Et au plus célèbre malvoyant de Mons, Willy Mercier. C’est grâce à lui que jusqu’ici, une soixantaine de films ont pu être doublés pour les aveugles et malvoyants.