2010
SimpleWeb.fr > Une nouvelle expérience de consommation des médias avec les webdocumentaires
by 2 others (via)J’ai déjà eu l’occasion de vous parler des webdocumentaires, un format à mi-chemin entre site web et DVD-Rom : France5 et CuriosphereTV expérimentent les web-documentaires. Je souhaiterais aujourd’hui rattraper une grande injustice et vous faire l’apologie de Prison Valley, un superbe web documentaire sorti il y a quelques mois et coproduit par Arte, Upian et le CNC qui vous plonge dans l’univers incroyable d’une ville-prison du fin fond de l’Amérique.
Espresso | Une réponse à Léa…
(via)Simplement génial, Gaza/Sderot peut probablement être considéré comme l’un des plus important Webdocumentaire à ce jour, parce que c’est avant tout sur le Web qu’il prend toute sa force, parce que sa non-linéarité et la liberté qu’il propose au lecteur fait partie intégrante de sa trame narrative.
Webdocu : Quand le journalisme se réinvente sur la toile : Reporter
De son côté, plus discrètement, Upian, agence web historique, élaborait avec Lacitedesmorts.net et Thanatoram de nouvelles formes éditoriales basées sur l'interactivité avec les internautes. S'ils sont alors plus artistiques que journalistiques, ces ovnis multimédias sont sans doute les premiers webdocumentaires de "prestige" produits, posant les bases d'un modèle économique pour ce type de création en obtenant des aides du CNC.
2009
RFI - Historias en internet
by 1 otherMultimedia entrevistó también a Alexandre Brachet, fundador de la agencia Upian, productora de web documentales, o documentales en internet, un género donde las historias son la clave.
FRESH -> the Hive, L'agence Upian
A la fois studio de création et société de production, Upian accompagne les marques et les sites médias dans leur stratégie Internet. Crée en 1998, elle produit également des contenus culturels et indépendants tels que des web documentaires ou presidentielles.net.
Avec les Web-documentaires 2.0, une nouvelle écriture @udiovisuelle est en marche :
Le web-documentaire est resté un genre sous exploité pendant longtemps, parce que mal défini puisqu’il se trouve aux frontières de la web tv, du magasine en ligne ou du journal de bord. Aujourd’hui la donne a changé. On trouve des réalisations percutantes et créatives travaillés avec les nouveaux outils multimédia, textes, images, vidéos… une manière de mettre les nouvelles technologies au service de la connaissance et d’un point de vue.
Presse écrite / en ligne, regards croisés | Benoît Drouillat
Dans l’entretien, j’ai souligné le manque d’innovation dans les media français. Je le maintiens, car notre maîtrise de l’écriture interactive pourrait être bien mieux exploitée. Nous faisions référence à ce titre, hors micro, avec Eric Chaverou à l’excellente agence Upian, à qui nous devons un des modèles du genre en termes de journalisme multimédia, Thanatorama, et d’autres réussites du design comme Têtu, Eco 89, ou Marianne.
Le Web-docu tisse sa toile sur 20minutes.fr
Une évolution qu'Alexandre Brachet d'Upian a constatée avec ses propres productions. « En 2002, avec La Cité des mortes, on essayait d'utiliser des contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis, dans Thanatorama, on a introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros... mort ! Enfin, avec Gaza/Sderot, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces villes, avec, par exemple, une frontière entre deux écrans sur le site. » Upian développe Canon City, un Web-docu sur les prisons américaines, « où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes car je pense que le Web-docu doit être une oeuvre collective ». Et donc, en progrès.
N°2 : dans les entrailles d’Upian - Webdocu.com
Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr
(via)Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».
Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.
SUNNY SIDE OF THE DOC L'époque est au webdoc - Charente-Maritime / Actualité / Grand La Rochelle - Jeudi 25 Juin 2009 - SUDOUEST.COM
(via)Dans les coulisses d’Upian, 1 - Webdocu.com
by 1 other (via)Web-documentaires : inventifs mais fragiles (interview) | :: Espritblog ::
(via)En France, le fait qu’une entreprise comme Upian soit à l’initiative de la plupart des wedocus ambitieux, n’est-il pas symptomatique du peu d’engouement des médias français, notamment la télévision, pour ce genre (Arte mise à part) ?
Le web documentaire : une nouvelle écriture pour un nouveau public ? - culture mobile_le blog
by 1 other, 1 commentRue89, invité de la Cité des sciences et de l’industrie - Fabrique de sens
2008
b r n r d .net | blog | idfa '08
(via)Première pierre à l’édifice « Mon celsablog
(via)Arte investit le net
(via)Arte est une chaîne pionnière à beaucoup d'égards. On peut citer la Haute Définition, la VOD ou encore la webradio eclusive. La nouvelle lubie de la chaîne européenne des cultures, c'est tout simplement internet.
Alexandre Brachet (upian.com, Thanatorama…) nous assure que les équipes de tournages sont locales et qu’il n’y aura aucun parti pris. Pendant 60 jours nous pourrons observer comment un coiffeur, une école ou encore un épicier vivent au jour le jour, de chaque côté de la frontière, sous la menace des raids et des attentats-suicides. Le « rôle » de l’internaute se jouera en ligne, via ses commentaires, les débats qu’il lancera et même ses contributions photo ou vidéo. L’accès au site et la traduction de chaque média en cinq langues (français, allemand, anglais, arabe et hébreu) permettra à l’initiative d’avoir une plus grande portée au niveau international.