2013
Au-delà du cercueil | France Culture Plus
2010
SimpleWeb.fr > Une nouvelle expérience de consommation des médias avec les webdocumentaires
by 2 others (via)J’ai déjà eu l’occasion de vous parler des webdocumentaires, un format à mi-chemin entre site web et DVD-Rom : France5 et CuriosphereTV expérimentent les web-documentaires. Je souhaiterais aujourd’hui rattraper une grande injustice et vous faire l’apologie de Prison Valley, un superbe web documentaire sorti il y a quelques mois et coproduit par Arte, Upian et le CNC qui vous plonge dans l’univers incroyable d’une ville-prison du fin fond de l’Amérique.
Espresso | Une réponse à Léa…
(via)Simplement génial, Gaza/Sderot peut probablement être considéré comme l’un des plus important Webdocumentaire à ce jour, parce que c’est avant tout sur le Web qu’il prend toute sa force, parce que sa non-linéarité et la liberté qu’il propose au lecteur fait partie intégrante de sa trame narrative.
Webdocu : Quand le journalisme se réinvente sur la toile : Reporter
De son côté, plus discrètement, Upian, agence web historique, élaborait avec Lacitedesmorts.net et Thanatoram de nouvelles formes éditoriales basées sur l'interactivité avec les internautes. S'ils sont alors plus artistiques que journalistiques, ces ovnis multimédias sont sans doute les premiers webdocumentaires de "prestige" produits, posant les bases d'un modèle économique pour ce type de création en obtenant des aides du CNC.
2009
92 Webdocumentaires, Récits Multimédias ou Web-reportages « Christophe MILET video & multimedia producer / Web Consultant / For Modern Interactive Content / Bordeaux - Aquitaine -
by 3 othersWEB-DOCUMENTAIRE « Le blog du festival des 4 écrans
(via)Pour la première fois, le Festival européen des 4 Écrans récompensera les trois meilleurs web-films de 2008 et 2009. Parmi ces douze œuvres conçues spécifiquement pour Internet, neuf web-documentaires. Un genre encore en phase d’expérimentation, donc difficile à définir.
Avec les Web-documentaires 2.0, une nouvelle écriture @udiovisuelle est en marche :
Le web-documentaire est resté un genre sous exploité pendant longtemps, parce que mal défini puisqu’il se trouve aux frontières de la web tv, du magasine en ligne ou du journal de bord. Aujourd’hui la donne a changé. On trouve des réalisations percutantes et créatives travaillés avec les nouveaux outils multimédia, textes, images, vidéos… une manière de mettre les nouvelles technologies au service de la connaissance et d’un point de vue.
Le Web-docu tisse sa toile sur 20minutes.fr
Une évolution qu'Alexandre Brachet d'Upian a constatée avec ses propres productions. « En 2002, avec La Cité des mortes, on essayait d'utiliser des contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis, dans Thanatorama, on a introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros... mort ! Enfin, avec Gaza/Sderot, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces villes, avec, par exemple, une frontière entre deux écrans sur le site. » Upian développe Canon City, un Web-docu sur les prisons américaines, « où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes car je pense que le Web-docu doit être une oeuvre collective ». Et donc, en progrès.
Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr
(via)Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».
Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.