public marks

PUBLIC MARKS from decembre with tags library2.0 & electre

2009

Droits sur les notices et norme ISO 20775 - Bibli-otequ-es

On m’a récemment fait remarquer que certaines bibliothèques arguent du fait que les notices sont rattachées à des droits, ce qui empêcheraient “d’ouvrir vers l’extérieur” leur serveur Z39.50. Qu’en pensez-vous ? Que disent les contrats des fournisseurs de notices ? (ex: Électre)

Recherches multibase, de nouveaux outils pour accroître l ...Quatre Solutions Techniques pour facilités l'acces du Public à des informations Dispersées

- Zone 856 Unimarc : ( Complexe et Lourd à mettre en place). - Moteurs de Recherche du Web : (Probléme pages Dynamiques pas référencées et le "bruit" produit). - Batir Portail Documentaire : (Problématique à gérer , pour le public et les bibliothècaires , si trop de Bases Concernées) - Utiliser i'OpenURL , en implantant dans l'OPAC un logiciel générant des Liens Contextuels : (Outils trés prometteurs permettant le Rebond automatisé, comme par exemple chez Dynix avec son Logiciel Horizon ou Electre ). Ces 4 solutions sont complémentaires, mais ne sont pas toutes adaptées à une large population de Publc.

Electre (ne se prête absolument pas à des détournements intelligents) ou le mythe d’un Narcisse ouroboros « Encore un biblioblog…

Electre n’est pas un “mauvais site” (he’s not the bad guy). Mais les fonctionnalités présentes, tout autant que les fonctionnalités absentes, induisent de la part de ses utilisateurs un certain comportement pour l’exploiter au mieux. Il ne se prête absolument pas à des détournements intelligents (tels que décrits ici, notamment) Autrement dit, c’est un bon outil, mais il n’entre pas dans la logique web à laquelle nous nous habituons un peu plus chaque jour. Je parlerai une prochaine fois des trucs intéressants (paramétrages, personnalisation surtout) dans Electre.

2007

Information bibliographique: un bien commun?__Electre et le marché des notices

Pourquoi est-ce inquiétant? A terme, une seule société pourrait obtenir un monopole sur une grande part de (toute ?) la chaîne du livre…et donc sur ce « bien commun » que représente l’accès à l’information bibliographique....